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Dans l'ascenseur

Ecrit par SteeBlack
Parue le 02 09 2012
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 17580 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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DANS L'ASCENSEUR

Martin rentrait d'une rude journée de travail.
Habillé en costard-cravate depuis ce matin, il n'avait qu'un besoin, c'était de se déshabiller, prendre une bonne douche et aller dormir.

Marchant sur le trottoir en direction de son immeuble situé dans un des arrondissements de SteeBlackCity réputé aisé, il ne cessait de penser à sa femme et à ses deux enfants qui l'attendaient à la maison.
En effet, il était épuisé et n'avait pas envie qu'on lui prenne la tête avec des devoirs ou que sa femme lui parle de choses barbantes.
D'ailleurs, c'était devenu une habitude, à chaque fois qu'il revenait du boulot.
Aussi, il fallait croire qu'il en avait ras-le-bol de ce genre de vie monotone où tous les soirs, il rentrait à la maison et que plus souvent que rarement, son épouse le bassinait à ne plus pourvoir la supporter.
Il souhaitait parfois que les choses soient différentes et qu'un peu d'épices saupoudrées de piment puissent bouleverser ses mœurs quotidiennes.

Martin était âgé de 50 ans.
Il n'était pas très grand, avait un style vestimentaire plutôt classique et un physique quelconque.
Avec juste un peu de ventre, pas trop costaud et les cheveux blonds avec des petites blancheurs par-ci par-là.
Quelques fois, il se plaignait de ne pas être bien monté.
Chez lui, ce constat était devenu une gêne.
Mais, pour 18 cm de longueur et 4,5 cm de large, il était quand même dans la moyenne.
Du reste, beaucoup d'autres hommes étaient dans des cas nettement plus désespérant.

Ce complexe, qui d'ailleurs, n'en était pas vraiment un, l'avait poussé à souvent regarder l'entre-jambe de certains mecs. Surtout, quand il se trouvait dans les lieux publics ou au travail, en espionnant discrètement le baluchon de certains de ses collègues.
Selon lui, si le paquet d'un gars était bien remplit, c'est qu'il devait en avoir une grosse entre les cuisses.
Cette comparaison maladive, engendrait parfois des pincements de jalousie.
Par exemple, quand il voyait passer un homme dans les transports où il pouvait distinctement apercevoir la forme de sa queue sur les côtés de sa braguette, non seulement, ça l'excitait mais il était un peu envieux.
Cependant, cette complexité ne l'empêchait pas de vivre sa vie sexuelle comme il l'entendait.

Car même si il était marié, il lui arrivait parfois d'aller voir ailleurs.
Ce qu'il préférait, c'était coucher avec de beaux gaillards en forme physiquement et bien montés. D'où sa préférence pour les arabes et les antillais.
Sa plus belle expérience en matière de baise, fût la partouze à laquelle il avait participé chez un bon ami à lui.
Ce soir-là, ce dernier qu'il connaissait depuis des années, lui avait offert quatre blacks d'origine caribéennes très motivés pour l'occasion et bien gaulés.
Passif en dehors de sa vie de couple, il avait prit un pied d'enfer à se faire prendre par ces superbes mâles, montés comme des chevaux.
Bien qu'il eu d'autres bonnes expériences dans ce domaine avec quelques « rebeus » notamment, celle-ci avait été inoubliable.

Mais ne voilà t-il pas qu'aujourd'hui, les choses allaient tourner en sa faveur.
Car désirant vivre des situations excitantes et bandantes, quelque chose à laquelle il ne s'attendait pas du tout, lui apportera un nouvel apprentissage en la matière.

***

Martin arriva enfin au pied de son immeuble.
Il composa le code et entra dans le hall. Se dirigea vers l'ascenseur et appuya sur le bouton afin d'appeler celui-ci.
Au même moment, un homme d'environ 30 ans, d'origine arabe se présenta devant la porte codifiée. Il tapa les chiffres secrets, le portique se débloqua et entra à son tour puis se dirigea directement vers Martin.
L'étranger, visiblement un livreur de pizza, puisqu'il en tenait une dans une boîte à la main droite, salua Martin.

Bonsoir ! Dit celui-ci.
Bonsoir, répondit le quinquagénaire en détaillant discrètement le beau spécimen.

Enfin, l'appareil qui été arrivé, ouvrit automatiquement ses portes.
Nos deux individus entrèrent et chacun appuyèrent sur le bouton correspondant à leur étage respectif.
La machine commença alors son ascension.

Martin situé juste derrière le beau « beur » avait une vue imprenable sur son cul.
En effet, celui-ci portait un blue-jean qui lui moulait le bas du corps à la perfection.
Ses fesses paraissaient fermes et étaient bombées à souhait.
Rien qu'à voir son physique, Martin constatait assurément que ce gars s'entretenait quotidiennement.
En détaillant les muscles de ses bras, sa poitrine, ses épaules, son dos et ses jambes, tous portait à croire qu'il faisait de la musculation.
Il n'était pas baraqué pour autant, mais avait une corpulence raisonnable.

***

Puis, soudainement, alors que le quinquagénaire se délectait à mâter le livreur de pizza, l'ascenseur s'arrêta net.
Aussitôt, Martin fut le premier à réagir.

Qu'est-ce-qui se passe encore ? Dit-il agacé.
Putain ! C'est quoi ce bordel ? Renchérit son voisin.

Martin appuya donc sur le bouton qui permettait à l'appareil de redémarrer sa progression. Mais, il ne réagissait pas.

Bon sang ! Tu vas redémarrer oui, ordonna nerveusement Martin.
Vous habitez l'immeuble ? Demanda le livreur.
Oui, pourquoi ?
Normalement, il y a quelqu'un à contacter dans ce genre de problème ?
Ça n'était jamais arrivé auparavant. Et puis, de toute façon, il n'y a qu'une chose à faire, c'est appuyer sur le bouton d'urgence, dit Martin en actionnant aussitôt ce dernier.

Quelques minutes après l'enclenchement, une voix se fit entendre.

Bonsoir ! L'ascenseur est bloqué ?
Oui, bonsoir ! Je suis Mr Bergeroux et j'habite le bâtiment. Je suis coincé avec une autre personne.
Très bien. Nous sommes la société chargée du déblocage de l'appareil, nous envoyons une équipe régulariser le problème. En attendant, je vous demande de bien vouloir patienter, ils arriveront sous peu.
Putain ! Lâcha le livreur.
OK ! Merci. Dit Martin.
Fais chier ! J'avais trois livraisons à faire ce soir ! Là, je suis dans la merde, cracha le jeune arabe.
Pourquoi ? Ce n'est pas de votre faute ?!
Ouais, mais mon patron va me gueuler après ou pire encore, je risque de perdre mon travail. En plus, les clients vont bien finir par appeler pour savoir où se trouve leur pizza.
Ben ! Appelez votre bosse.
Comment ? Il ne me reste plus d'unités sur mon portable. C'est justement pour ça que je panique. Si je pouvais, je l'aurai appelé pour lui expliquer la situation.
Tenez le mien, dit Martin comprenant parfaitement son inquiétude, récupérant ainsi le mobile situé dans la poche de sa veste.
Sérieux ! Vous me le prêtez ?
Prenez-le, je vous dit, a répondu Mr Bergeroux en lui présentant son mobile.

Après avoir rapidement composé le numéro, le livreur expliqua à son patron dans quel embarras il se trouvait actuellement.
Ce dernier comprenant parfaitement les circonstances, rassura son employé en lui disant qu'il confira la livraison à quelque d'autre et donc, de ne pas s'inquiéter.
Ensuite, s'en suivi quelques brefs échanges puis il raccrocha et remit le téléphone à son propriétaire.

Merci.
Je vous en prie !

Plus détendu et en attente des secours, le livreur décida alors de se mettre à son aise en déposant la pizza sur le sol pour ensuite aller s'asseoir dans un des coins de l'ascenseur.
Martin, à défaut de prendre place de façon similaire, préféra déposer son attaché-caisse et resta debout.
A partir de cet instant un silence total s'instaura entre les deux hommes.
Néanmoins, cela n’empêcha pas Martin de poursuivre sa vicieuse observation, en continuant à détailler discrètement le beau maghrébin du regard.
D'autant plus que ce dernier était assis dans une position qui mettait irrémédiablement en valeur les attribues qu'il avait entre les jambes.
Fesses sur le parterre, cuisses écartées, celui-ci exposait à la vue du quinquagénaire, la forme de sa queue qui se dessinait nettement dans le jean.
Cet aspect bosselé et plein commençait à exciter Martin qui sentait son sexe réagir dans son pantalon.

Dans ce genre de situation, où il avait l'occasion de mâter d'aussi prêt un beau « rebeu », physiquement bien foutu, avec en plus, un paquet qui appelait à la baise, il fallait reconnaître qu'il était difficile pour lui de se contenir.

« Purée ! Je me serais bien fait défoncer par ce mec. Il doit avoir une bonne grosse bite à sucer » pensa t-il.

Seulement, perdu dans ses pensées, les yeux visiblement fixés dans l'entre-jambe du livreur, le quinquagénaire ne s'était pas aperçu que l'inconnu était en train de l'observer à son tour.
Quand Martin reprit alors ses esprits, il était déjà bien trop tard car le regard des deux hommes se croisèrent instantanément.
Dès lors, le jeune arabe comprit rapidement les informations que renvoyait celui-ci de part son expression visuelle plutôt perverse.

Bisexuel confirmé, ce dernier avait déjà baisé avec pas mal de mec.
Et, l'individu situé en face de lui en ce moment même, n'allait certainement pas faire exception à la règle.
Après une réflexion rapide, ses intentions étaient finalement de lui offrir sa verge à sucer au lieu d'entamer une séance de baise qui risquerait d'alarmer l'entourage.
En plus, ils attendaient les secours.
Aussi, les petits coups d’œil qu'avaient réalisés le locataire de l'immeuble confirmaient assurément les pensées de celui-ci.
Idées, inéluctablement tournées vers le sexe.
Tous ces petits détails avaient donc alerté le livreur. Ce qui lui permit de ce rendre compte que Martin était forcément intéressé par les mâles.
Par conséquent, ce fût en partie pour ces diverses raisons, qu'un sourire se dessina significativement au coin des lèvres du pizzaiolo et qu'il entreprit alors de jouer les provocateurs.

Vous les vieux, vous avez le vice dans la peau, lança brusquement le marocain.
Quoi ?
T'as très bien entendu.
Je peux savoir pourquoi tu dis ça ? Réponds Mr Begeroux, en décidant de tutoyer le jeune homme.
Tu sais très bien pourquoi ?

A l'écoute de ces mots, le cœur du quinquagénaire se mit à battre et il commença à transpirer.
D'autant plus qu'enfermé à deux dans un si petit espace, cela n'arrangeait vraiment pas les choses.

Tu dois être un sacré vicieux, toi, balança le livreur.

Celui-ci se mit alors debout et palpa brièvement le renflement de sa braguette.
Tout ceci, dans l'unique but de provoquer son interlocuteur.

C'est ma queue que tu veux sucer ? C'est ça ? Gros pédé ! Questionna t-il en continuant à masser la bosse située entre ses cuisses.
C'est moi que tu traites de pédé ?
A part toi et moi, je ne vois personne, lança l'excitateur avec humour.

Afin de ne pas perdre pieds devant le comportement intimidant du jeune « rebeu », Martin adopta une attitude plus provocante encore.
Tout simplement, en entrant dans le jeu de son adversaire.

Tu veux voire comment suce un gros pédé ? Lança t-il alors sans gêne.
Il paraît que les vieux comme toi pompe comme des malades. Tellement vous aimez la viande fraîche. Hein ! T'aimes les beaux « rebeus » comme moi ? Hein ! Les jolis culs, les grosses « teubes »... C'est ça que t'aime ? Hein ! Dit-il en détachant sa ceinture et en déboutonnant son jean sans pour autant sortir son pénis de son sous-vêtement.

La situation inattendue dans laquelle se trouvait actuellement le quinquagénaire, le faisait bander comme un fou.
De plus, à la vue de la toison sombre du pubis de ce beau mâle, il en avait déjà l'eau à la bouche. Si bien qu'il passa la langue sur ses lèvres.
Sans dire un mot et profitant de cette fameuse aubaine, il se mit à genoux devant le livreur, lui sortit la bite du caleçon et l'enfourna dans sa gueule de suceur expérimenté.

Oh ouaaaaais ! Putain ! Dit le jeune « beur », en commençant à remuer son bassin afin de réaliser d'impeccables vas-et-viens dans la cavité buccale de Martin.

En quelques minutes, la verge de l'inconnu avait déjà bien durcit et sa longueur était à son maximum.
Le quinquagénaire pompait à présent une superbe verge 100% d'origine arabe surmontée d'un beau gland, comme il était rare de rencontrer chez ce type d'individu.
En général, ils avaient un champignon pas très gros mais parfaitement circoncis.
Néanmoins, dans ce cas-ci, la différence se justifiait.
C'était d'ailleurs pour cela que Martin s'appliquait à lécher, mordiller et déguster cette énorme tétine rosé et coulante de mouille.

***

Après une bonne vingtaine de minutes, notre quinquagénaire continuait encore son travail de pompage avec une tel avidité, que d'incroyables bruits de succions, accompagnés de bave dégoulinante, émanaient de cette action très baveuse et fortement appréciable.

Putain ! Vas-y ! Vas-y ! Ouaaaaais ! Tu suces comme un Dieu... Putain ! Oh ouiiiiis ! Comme ça, encouragea le jeune livreur, qui la tête en arrière, un rictus aux lèvres, vibrait au rythme de la merveilleuse fellation que lui octroyer Martin.

Ce dernier lui gobait également les boules puis recommençait à pomper la grosse verge du bel arabe.
Il répéta ces deux étapes à plusieurs reprises.
Parfois, le jeune homme lui tapotait la queue sur le visage. Et baisait à nouveau la bouche du « vieux suceur » à grands coups de reins.
Puis, au final, une trentaine de minutes plus tard, le livreur sentit la jouissance venir.

Je vais jouir ! Je vais jouir !

Malgré cette agréable avertissement, Martin continuait encore à pomper ce délicieux bâton de chair qu'il n'était pas prêt de lâcher.

Oh putain ! Je jouis ! Aaaaaaah ! Râla le beau marocain.

Ce fût donc au fond de la gorge du bureaucrate que le pizzaiolo déversa toute sa semence épaisse et blanchâtre.
Alors que Mr Bergeroux suçait encore le livreur de pizza en le regardant droit dans les yeux, toujours à genoux, celui-ci lui caressa les cheveux et lui dit :

Niveau pipe, tu assures grave mon gars, lança t-il avec un sourire.
Je suis peut-être un gros pédé mais un pédé qui suce à la perfection.
Ça ! Tu peux le dire.

Après avoir bien nettoyé la bite du jeune mec, l'homme d'affaire se redressa et se nettoya le visage badigeonner de salive avec un mouchoir.
L'inconnu quand à lui, remballa son sexe.
Au même moment et par le fruit du hasard, une voix se fit entendre au-dessus de l’ascenseur.

Héooh ! Vous êtes là ?
Ouais, cria le jeune « beur ».
OK ! Il n'y avait rien de très grave qui bloquait l'élévateur. L'appareil va redémarrer dans un instant.

Sur ces mots, les deux hommes reprirent leur position de départ. Martin avec son attaché caisse et le livreur avec sa pizza à la main, à présent toute froide.
Puis, un instant plus tard, l'ascenseur reprit soudainement son ascension et s'arrêta ainsi à l'étage supérieur.
Les portes s'ouvrirent enfin et le binôme fût accueillit par une équipe qui leur posèrent quelques questions d'usages.

***

Après ces échanges réglementaires, le livreur partit rapidement livrer sa pizza en empruntant les escaliers.
Le quinquagénaire fit de même dans le but de se rendre à son domicile.
Ce dernier monta les marches une à une, en n'arrêtant pas de penser à ce qui venait de se passer.
Il se sentait bien et avait été ravi de vivre ce type d'expérience.

Seulement, ne voilà t-il pas quand finissant sa progression ascensionnelle, à présent arrivé non loin de son appart., la stupeur tétanisa Martin instantanément.

En effet, quelle ne fût pas sa surprise de voire le jeune arabe debout devant la porte de chez lui, expliquant à sa femme les raisons du retard de la livraison de la pizza aux trois fromages, qu'elle avait commandé pour elle, son mari et leurs deux fils.

SteeBlack




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